La nouvelle détection de méthane dans l’atmosphère de Mars par le robot Curiosity relance le débat sur l’origine de ce gaz : celle-ci est-elle biologique ou non ? Les scientifiques cherchent toujours à comprendre quel mécanisme peut le produire, mais aussi pourquoi il « s’évapore » partiellement en fonction des saisons.
Le 7 juin 2018, la Nasa a annoncé deux résultats importants issus des explorations menées par son rover Curiosity sur Mars. L’un d’eux fait état de l’existence d’un cycle saisonnier du méthane sur la planète rouge (l’autre concerne l’identification pour la première fois de molécules carbonées complexes). En d’autres termes, les instruments de Curiosity ont confirmé qu’il y a bien du méthane dans la fine atmosphère martienne. De plus, sa proportion varie en fonction de la saison. Ce résultat s’ajoute à d’autres, antérieurs et encore plus mystérieux, qui semblent indiquer qu’il y a, épisodiquement, des émissions de méthane, aussi fortes qu’éphémères. Au final, c’est un véritable casse-tête.
Un seul gaz : deux origines possibles La première
Le 7 juin 2018, la Nasa a annoncé deux résultats importants issus des explorations menées par son rover Curiosity sur Mars. L’un d’eux fait état de l’existence d’un cycle saisonnier du méthane sur la planète rouge (l’autre concerne l’identification pour la première fois de molécules carbonées complexes). En d’autres termes, les instruments de Curiosity ont confirmé qu’il y a bien du méthane dans la fine atmosphère martienne. De plus, sa proportion varie en fonction de la saison. Ce résultat s’ajoute à d’autres, antérieurs et encore plus mystérieux, qui semblent indiquer qu’il y a, épisodiquement, des émissions de méthane, aussi fortes qu’éphémères. Au final, c’est un véritable casse-tête.
Un seul gaz : deux origines possibles La première...
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